🎙️ Dans cet épisode, on vous présente la plus grande enquête jamais menée sur le triathlon amateur en France. Plus de 2100 triathlètes ont répondu à notre questionnaire… et les résultats risquent bien de bousculer quelques clichés !
💬 Dans cet épisode, on dresse le portrait-robot du triathlète amateur français :
- Leur âge et leur expérience en triathlon
- Leurs points forts et leurs point faibles
- Leur volume d’entrainement et leur distance favorite
- Leur budget annuel
Un décryptage précis, accessible et parfois surprenant, qui permettra à chacun — coachs, pratiquants, clubs ou curieux — de mieux comprendre qui sont vraiment les triathlètes amateurs en 2025.
📗 Ressources :
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💬 La transcription de l’épisode
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Ermanno : Salut les sportifs, juste avant de commencer l’épisode, je voulais vous partager la bonne nouvelle. OpenTri et Devenir Triathletes sont partenaires du premier stage mixte organisé par Open Sky Moment et Swyvent qui se déroulera dans le Tarn du 24 au 28 septembre 2025. C’est un stage all inclusive, vous venez avec votre vélo, vos baskets, votre maillot de bain et votre combi et puis on s’occupe de vous, on vous fait dormir, manger et surtout vous entraîner avec une prestat de super qualité. Vous allez pouvoir repartir du stage non seulement avec les jambes bien lourdes mais aussi avec tout un tas d’informations pour pouvoir continuer votre entraînement et atteindre votre objectif de la saison, voire même votre objectif à long terme. N’hésitez pas à regarder dans les notes de cet épisode pour en savoir plus. Vous avez même un petit code promo que vous pouvez insérer au moment de l’inscription. Tout se passe sur le site de Swyvent. Je suis impatient de vous retrouver du 24 au 28 septembre sur ce stage puisque je serai aux côtés des organisateurs. Salut les sportifs et bon épisode !
Charly : Vous croyez que tous les triathlètes autour de vous s’entraînent 15h par semaine, qu’ils mangent des gels au petit-déj et qu’ils rêvent tous d’un slot pour connard ? Vous pensez être le seul à vous entraîner dans votre coin, sans club, sans plan d’entraînement et en jonglant entre les impératifs familiaux, professionnels et perso ? Mais je vous rassure, non, vous n’êtes pas seul. Et si je le sais, c’est parce qu’on vient d’interroger plus de 2100 triathlètes en France. Et ce que les chiffres disent, c’est assez simple. Le triathlète amateur moyen en France aujourd’hui, en 2015, globalement, il nous ressemble à vous, à moi. Il n’est pas pro, il ne s’entraîne pas 15h par semaine, il n’a pas un vélo à 12 000 euros. C’est juste un gars ou une fille passionné qui veut progresser, se dépasser et trouver le bon équilibre avec ce sport dans sa vie. Dans cette vidéo, je vous montre les vrais chiffres du triathlon en France. Qui pratique ? A quelle fréquence ? Sur quelle distance ? Avec quel budget ? Comment vous choisissez vos courses ? Et finalement, est-ce qu’il y en a parmi nous qui cherchent à gagner ou est-ce qu’on cherche d’abord à finir et à se faire plaisir ? Alors vous allez le voir, il y a des surprises, des choses inattendues. S’il y a quelque chose que je peux vous promettre, c’est que vous allez vous reconnaître. Et juste avant de démarrer, il faut que je vous précise, les éléments que je vais vous présenter là, ils sont issus de notre troisième grande étude sur le triathlon amateur en France. C’est la troisième année qu’on fait cette étude avec OpenTri et cette année, on a réuni un peu plus de 2100 triathlètes pour comprendre qui ils étaient, leurs attentes, leurs pratiques et pour pouvoir dresser le portrait type du triathlète français en 2025. Si vous avez participé à cette étude, j’en profite pour vous remercier et si vous ne connaissez pas encore les résultats, on y va. Et d’abord, on va commencer par ça. On va s’intéresser au niveau d’expérience des gens. Depuis combien de temps vous pratiquez le triathlon ? Ce dont on s’aperçoit tout de suite, c’est qu’il y a une majorité des gens qui ont entre 1 et 10 ans d’expérience. Mais au-delà de ça, si on regarde un peu ce qui se passe au tout début, chez les gens qui en font depuis moins d’un an, ils représentent près de 20% des répondants. C’est-à-dire que près d’un triathlète sur 5 débute tout juste. Et c’est même plus que ce qu’on trouve de l’autre côté du spectre, c’est-à-dire les gens qui sont là depuis plus de 10 ans à pratiquer. Aujourd’hui, dans le paysage moyen, on a plus de gens qui démarrent tout juste que de gens qui en font depuis plus de 10 ans. Et donc le premier truc qu’on apprend, c’est qu’il y a un vrai renouvellement des pratiquants du triathlon aujourd’hui. C’est plus le même qu’il y a 10 ans. Près d’un sur deux aujourd’hui a démarré depuis moins de 3 ans. Et un sur cinq démarre tout juste. Et ça, c’est probablement dû à la médiatisation croissante du triathlon, aux efforts de la fédération pour rendre le sport plus accessible, et puis à la mission des médias qui, comme OpenTri, ont pour objectif de désacraliser le triathlon et de faire venir de plus en plus de gens sur cette discipline. Et pour finir, un petit mot. Sur la dernière catégorie, les gens qui sont là depuis plus de 10 ans. Alors, ils sont les moins nombreux en termes de répartition, mais c’est probablement ceux qui ont trouvé le meilleur équilibre entre ce sport très exigeant et les autres sphères de la vie dans lesquelles ils doivent venir s’intégrer. Et je suis prêt à parier que c’est dans cette catégorie-là qu’on va trouver aussi les athlètes les plus performants, puisque, comme vous le savez, le triathlon est un sport à maturité, très lente, et après avoir pratiqué pendant plus de 10 ans, surtout si on a commencé jeune, on a les meilleures chances de pouvoir performer. Si on regarde maintenant l’âge moyen du triathlète en France, eh bien, on se rend compte de deux choses. D’une part, on est plutôt sur un sport de maturité, plus que de jeunesse. 54% des triathlètes ont entre 35 et 54 ans. Alors ça, c’est assez classique pour les sports d’endurance qui correspondent plutôt aux qualités des gens de cette tranche d’âge, mais ça s’explique aussi par le fait que le triathlon, c’est un sport qui, d’un point de vue investissement financier ou en énergie, est parfois difficilement accessible à des gens qui sont étudiants ou jeunes actifs. Mais ce que je vous dis là, et c’est le deuxième truc intéressant, c’est que les choses sont en train de changer. Sur les trois versions de cette étude qu’on a sorti depuis 2023, on s’aperçoit que la part des premières tranches, 18-24 et 25-34, grossit de plus en plus. C’est ce que je vous disais, il y a un vrai renouvellement par le bas, en tout cas par les tranches les plus jeunes de l’univers du triathlon, grâce à la médiatisation, grâce au fait que ça devient un sport un peu plus hype, et on a une vraie évolution au fur et à mesure de nos études qui tendent à ramener l’âge moyen plutôt vers le bas. Et enfin, vous le voyez, le triathlon comme sport d’endurance, ça conserve, puisqu’on a près de 20%, un répondant sur cinq, qui a plus de 55 ans. Maintenant, on est allé vous demander d’où vous veniez avant de pratiquer le triathlon. Parce qu’en fait, il est hyper rare de commencer les trois sports en même temps, et de se dire du jour au lendemain, je me lance dans le triathlon. Non, très régulièrement, vous venez d’une ou de plusieurs des disciplines du triathlon. Et ce dont on se rend compte, c’est que la majorité d’entre vous venaient de la course à pied. C’est le cas pour 62% d’entre vous, 18% venaient du cyclisme, et 13% de la natation. Et il ne reste qu’un tout petit 7% de gens qui ont eu le bonheur de découvrir les trois disciplines en même temps, et qui se sont retrouvés à devoir qu’elles aient des entraînements dans trois disciplines dans leur agenda du jour au lendemain. Et ce qui est intéressant ici, c’est aussi que le constat change d’année en année. Alors, je n’ai pas d’études pour corroborer ce que je vais vous dire, mais il y a dix ans, vous alliez dans les parcs à vélo, et vous aviez le sentiment que la majorité des triathlètes qui débutaient venaient plutôt du vélo. C’était un sport de cycliste, sur lequel il était assez facile de transférer une partie de son entraînement vélo sur de la course à pied, et pour les plus courageux, d’apprendre à nager et de passer la barrière technique. Aujourd’hui, les choses se sont pas mal inversées, et près de deux tiers d’entre vous avaient démarré par la course à pied. Ensuite, on est allé vous demander quel était votre budget, votre investissement moyen tous les ans pour le triathlon. Et en fait, là, on est assez loin des clichés où on achète des vélos à 10 000 euros et puis une combi à 800. La majorité d’entre vous dépense entre 400 et 1 000 euros par an pour vos équipements. Et si on regarde un peu plus loin, il y a même 8 triathlètes sur 10 qui dépensent moins de 1 000 euros par an en équipement. Alors la prochaine fois que vous entrerez dans un parc à vélo avec une trifonction premier prix ou une paire de chaussures qui n’a pas de semelle carbone, pas d’inquiétude, vous n’êtes pas seul. Il n’y a pas besoin d’investir des milliers d’euros tous les ans dans le matériel pour pouvoir se faire plaisir et performer. Et on s’aperçoit aussi que la tranche des gens qui dépensent plus de 2 000 euros par an dans le matériel donc le cliché du triathlète qui s’achète tous les ans un nouveau vélo, finalement cette réalité-là est très limitée puisqu’elle représente 8% des répondants. Une personne sur 13. Alors oui, le budget reste important pour quelqu’un qui débute dans le sport et qui doit se fournir en matériel dans les trois disciplines, mais par la suite, nul besoin de réinvestir des milliers d’euros tous les ans pour mettre à jour son matériel. Ensuite, on est allé vous interroger sur un truc qui à chaque fois nous captive. Quelle est votre discipline forte et votre discipline faible ? Et là, on rentre dans les clichés du triathlète. C’est-à-dire que la majorité d’entre vous est très à l’aise en course à pied et en cyclisme. Au contraire, seul un triathlète sur cinq préfère la natation. Et encore, lors de la première édition de notre étude en 2023, il y avait seulement 11% des triathlètes qui déclaraient préférer la natation, le reste étant concentré sur le vélo puis sur la course à pied. Et ce qui est intéressant aussi, c’est de voir l’évolution de ce dernier chiffre, les gens qui estiment avoir un profil homogène, qui augmente d’année en année. En fait, parce qu’on se rend compte très vite, que l’on peut progresser, plus que d’avoir des points forts, il est important de ne pas avoir de points faibles. Et en parlant de points faibles, justement, on vous a posé la même question sur votre discipline faible. Et là, ça correspond plutôt au cliché. Une réponse sur deux nous disait que les difficultés étaient en natation. Ce n’est pas tellement surprenant, c’est le sport le plus technique sur lequel il y a une vraie barrière à passer pour pouvoir prendre du plaisir et progresser. Et ça reste toujours l’ennemi numéro un. La deuxième discipline la plus compliquée pour vous, c’est plutôt le cyclisme, la course à pied. Et pour finir sur cette histoire de discipline forte, discipline faible, il faut juste remettre ça en perspective avec le fait que le triathlon, généralement, c’est environ 10% du temps passé en natation, 50 à 60 à vélo et le reste à pied. Alors, si vous visez la progression, voire la performance, il est plutôt judicieux que le vélo devienne votre discipline forte, suivie par la course à pied, quitte à délaisser un peu la natation, surtout sur longue distance. Alors, je me permets d’interrompre deux petites secondes cette vidéo. Vous savez que sur les 30 derniers jours, on avait enregistré 12 631 vues sur notre chaîne YouTube et pourtant, on plafonne à 1300 abonnés. Alors, si vous ne l’avez pas encore fait, je vous invite à cliquer sur le bouton s’abonner juste en dessous. Vous recevrez nos prochaines vidéos et nos prochains conseils. Et puis, si vous ne voulez pas encore vous abonner, n’hésitez pas à mettre un petit commentaire pour me dire quel type de prochaines vidéos vous voudriez. Ça nous aidera aussi à nous améliorer. Allez, je vous laisse faire, soit vous abonner, soit me dire pourquoi vous ne le faites pas et on retourne à notre vidéo. Ensuite, on est allé vous demander combien d’heures vous entraîniez par semaine. Et là, rassurez-vous, les athlètes qui s’entraînent plus de 15 heures par semaine, quasiment autant que les pros, ils sont très peu nombreux. C’est 4% des répondants. Mais en fait, la majorité d’entre vous s’entraîne entre 3 et 9 heures par semaine, ce qui représente entre 3 et 7 séances par semaine. Et quand on regarde un peu la répartition par objectif de course, à savoir plutôt de la courte distance ou de la longue distance, on s’aperçoit qu’il y a pas mal de disparités. Et très clairement, c’est logiquement, les gens qui préparent de la longue distance ont en moyenne des heures par semaine. Des heures d’entraînement beaucoup plus élevées que ceux de la courte distance. On est à 9 heures en moyenne pour la longue distance et 5 heures et demie pour la courte distance. Et enfin, si vous démarrez tout juste et que vous ne vous entraînez qu’entre 1 et 3 heures comme 7% de non-répondants, pas d’inquiétude. Avec une séance par discipline et par semaine, on a déjà largement de quoi goûter aux joies du triple effort et même de pouvoir s’aligner sur ses premières compétitions. Ensuite, on vous a demandé combien d’épreuves vous couriez par an, en triathlon, en duathlon, en enchaînée, de la FFTRI. Et on se rend compte que finalement, on a près de la moitié des répondants qui ne courent qu’une ou deux compétitions par an. Idem pour ceux qui en font entre 3 et 5. Et vous êtes très très peu à en faire plus de 5 par an. Alors plus de 5 compétitions par an, effectivement, ce sont des sportifs très investis qui, j’imagine, utilisent aussi ces compétitions comme étape de préparation intermédiaire pour de plus grands objectifs qu’ils veulent atteindre dans l’année. Mais ce qui est très intéressant, c’est de regarder les gens qui font une ou deux compétitions, c’est un vrai truc qu’on ne voyait pas il y a quelques années. Quand on vous posait la question dans les éditions précédentes de cette étude, il y avait assez peu de monde qui ne pratiquait qu’une ou deux compétitions. Mais là, avec près de 44%, en fait, ça renforce la tendance du triathlon comme sport-défi, comme sport secondaire, dans lequel on va venir se tester une, deux fois par an sur un défi entre copains ou pour fêter un cap symbolique des 30, des 40 ou des 50 ans, qui viennent apporter un peu de piment, un peu de défi sportif dans notre année. Et ça, c’est un truc qu’on n’hérite probablement pas dans les états-unis, où l’Ironman, pendant longtemps, a été et continue d’être un défi très connu du grand public. Où on retrouve des néo-triathlètes qui ne pratiquaient pas jusqu’ici et qui se lancent le défi de compléter un Ironman ou un Half Ironman presque en démarrant de zéro. Et en parlant d’épreuves, on est allé ensuite vous demander si vous étiez plutôt team courte distance ou team longue distance. Ce dont on s’aperçoit, c’est que la majorité d’entre vous, 62%, êtes plutôt dans la team courte distance, XS, M et seulement 38% dans la team longue distance, L, I. Alors, dans les gens qui démarrent tout juste notre sport, on les retrouve plutôt effectivement dans la team courte distance. Mais après ça, chez les gens qui ont plus d’expérience, il n’y a pas forcément de corrélation entre le nombre d’années de pratique et ce qu’ils préfèrent comme discipline. Effectivement, on a des gens qui sont sur courte distance depuis longtemps, qui y restent et dont l’objectif, c’est de performer sur ces formats très courts et très explosifs. D’ailleurs, je suis curieux de ça. Dites-moi en commentaire plutôt team CD ou team LD. Et puis on verra à la fin qui gagne le match et si on retrouve les mêmes chiffres dans le public YouTube que dans notre étude. Enfin, on est allé vous poser une question un peu plus personnelle. Ce que ça représentait pour vous le triathlon et ce que vous alliez y chercher en premier. Et ce dont on s’aperçoit, c’est qu’il y a une grande majorité, 60% des répondants, pour qui le triathlon, c’est un sport de défis, c’est un sport de dépassement de soi. Et on y va pour réussir à aller au bout de son objectif et à se battre soi-même avant de concurrencer les autres. Ensuite, on a 30% de gens qui sont entre l’envie de rester en forme, qui pratiquent plutôt du sport santé, et le plaisir de passer des bons moments sportifs. Des gens qui vont chercher avant tout la cohésion, malgré le fait de pratiquer un sport individuel, de retrouver un groupe. Tandis qu’on a 10% des athlètes qui déclarent rechercher la performance et les chronos. Et ça, c’est aussi assez symptomatique du changement qui est en train de se passer dans l’écosystème du triathlon aujourd’hui. C’est que lors de la première édition de notre étude, on avait plus de 30% des gens qui nous disaient rechercher la performance et les chronos, et à peu près 30% également qui nous disaient rechercher le défi et le dépassement de soi. Et enfin, la dernière question qu’on vous a posée, c’est celle, comment vous choisissiez vos compétitions ? Et là, on a eu des réponses étonnantes. Alors, le premier critère qui vient, c’est celui des parcours. Oui, vous choisissez vos compétitions, votre triathlon et vos sports enchaînés d’abord pour les parcours. Ensuite, la proximité géographique. Quel point c’est loin ou pas de chez vous ? Le prix est le troisième critère. Ensuite, la renommée, la diversité des formats proposés et les avis. Alors, amis organisateurs, vous savez ce qu’il vous reste à faire pour que votre épreuve soit un succès, des parcours qui fassent rêver les triathlètes et un prix abordable. Ça y est, je vous ai tout dit. On est arrivé à la fin de cette étude sur le portrait type du triathlète amateur français en 2025. Alors, dites-moi en commentaire si vous ressemblez et si oui, sur quel point à ce portrait robot et sinon, ce que vous, vous faites différemment. Sachez aussi que si cette étude vous intéresse, elle est disponible au téléchargement dans le lien qui est juste en dessous, notamment si vous êtes organisateur, club, professionnel, institution. Il y a des données probablement qui vont vous intéresser dans la version complète de l’étude. Quant à moi, il ne me reste plus qu’à vous souhaiter un bon entraînement. On se retrouve très vite pour une prochaine vidéo. Et n’oubliez pas que d’ici là, vous avez toujours la possibilité de démarrer gratuitement votre entraînement avec nous. Vous avez 7 jours d’essais gratuits et sans engagement. Il vous suffit de cliquer sur le lien qui est dans la description. Et j’espère vous retrouver très vite avec nous sur vos prochains entraînements.
Ermanno : C’était Devenir Triathlète X OpenTri. Merci d’avoir écouté cet épisode jusqu’au bout. Nous, on a pris beaucoup de plaisir à l’enregistrer. Alors si ça vous a plu, vous pouvez nous suivre sur nos réseaux sociaux, Instagram, LinkedIn et Facebook. On se rejoint maintenant sur DevenirTriathlète.com. Vous allez retrouver l’ensemble des épisodes, mais aussi des outils, des ressources et des conseils gratuits pour débuter, progresser ou performer en triathlon. On ajoute toutes les semaines de nouvelles ressources. Si vous avez une idée d’invité, n’hésitez pas à nous envoyer un petit message. Et si vous voulez être accompagné sur vos prochains objectifs sportifs, connectez-vous sur OpenTri.fr et on se fera un plaisir de vous aider. Alors n’hésitez pas, on se retrouve tout de suite sur DevenirTriathlète.com et OpenTri.fr. Salut les sportifs !
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