#387 [Episode Spécial 🎈] On a une grande nouvelle à vous annoncer !

💫Dans cet épisode spécial, on a le plaisir de retrouver Olivier De Schutter au micro : le co-fondateur du podcast est de retour après quelques mois d’absence et il nous raconte ses projets du moment, dans et en dehors du triathlon…

👋Nous sommes accompagnés de Charly, le créateur d’Opentri.fr, la plateforme d’entraînement qui aide les triathlètes à débuter et progresser grâce à ses plans & sa communauté.

🧭Et on vous réserve une belle annonce : le podcast va prendre un nouveau tournant, pour vous aider à Devenir (un.e meilleur.e) Triathlète !

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Pour suivre les membres autour du micro : https://www.linkedin.com/in/olivierdeschutter / https://www.instagram.com/olideschut / https://www.linkedin.com/in/charly-rege-turo-b1489731 / https://www.instagram.com/opentri.fr / https://www.linkedin.com/in/ironmanolux

Dans cet épisode, vous découvrirez :

**🌟 Au menu de cet épisode spécial:**

  1. Retour chaleureux d’Olivier, pour annoncer une transition passionnante
  2. Découverte d’OpenTri et de Charly, moteur de cette collaboration stimulante
  3. Explication des changements à venir et des avantages pour nos auditeurs : plus de contenus, insights, et peut-être même quelques surprises en vidéo ! 🎥👀
  4. Appel à contribution : vos idées peuvent façonner l’avenir du podcast !

⚠️📗 notre livre « Devenir Triathlète » est en commande ici 📗⚠️

Notre mission reste inchangée : rendre le triathlon accessible à tous, des débutants aux élites, en passant par ceux qui reprennent après une pause. Avec OpenTri à nos côtés, attendez-vous à plonger encore plus profondément dans le monde fascinant du triathlon. 🏊‍♂️🚴‍♀️🏃‍♂️. Gardez le pas, gardez le rythme, et surtout… gardez la passion brûlante pour le triathlon qui nous anime tous. 🔥💪

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Ermanno : Juste avant d’appuyer sur le bouton de ta montre et de démarrer ton entraînement avec un superbe podcast dans les oreilles, je t’invite à aller faire un tour sur devenire-athlète.com slash livre. Tu vas pouvoir découvrir le livre Devenir Triathlète que l’on a rédigé à 7 mains sous la direction d’Olivier De Schutter et dans lequel on t’explique comment devenir triathlète, comment progresser en triathlon et enfin comment performer en triathlon. Allez, on arrête de parler, c’est parti ! Salut les sportifs, c’est Ermanno et je suis très heureux de vous recevoir pour un nouvel épisode du podcast Devenir Triathlète. Et aujourd’hui, on va vous annoncer plein de nouvelles, on change quelques trucs, mais sans changer. Enfin bref, vous me connaissez, je m’en mêle un petit peu les pinceaux dans ma présentation. En tout cas, je suis très heureux, depuis le temps qu’on ne l’a pas entendu sur le podcast, de retendre le micro à Olivier De Schutter. Salut Oli !

Olivier De Schutter : Salut Ermanno, salut à toutes et à tous. Ça fait effectivement un petit moment, donc ravi d’être de retour aujourd’hui.

Ermanno : Bon, qu’est-ce que tu nous racontes de beau depuis le temps qu’on ne t’a pas entendu Olivier ?

Olivier De Schutter : En fait, il y a une bonne raison pour laquelle j’ai été assez heureux. C’est silencieux ces derniers mois, c’est que je suis devenu papa et que du coup, ça m’a pris pas mal de temps. Et donc, j’ai dû faire certains choix dans ma vie parce que je ne pouvais plus tout combiner à la fois. Donc voilà, j’ai eu pas mal de choses en parallèle aussi, mais je pense que c’était la chose la plus importante et qui m’occupe du coup depuis quatre mois maintenant.

Ermanno : Bon, mais il y a presque eu deux bébés en même temps en fait, ta fille qui est arrivée il y a quatre mois. Et puis, il y a un autre qui est arrivé quelques mois avant.

Olivier De Schutter : Donc oui, ça fait déjà une année et demie. Donc effectivement, j’ai cofondé un cabinet de conseil qui s’appelle BLIN, c’est un cabinet de conseil en durabilité. Donc, on accompagne les entreprises et tout type d’organisation dans la transition écologique.

Olivier De Schutter : Donc, c’est effectivement aussi, oui, on pourrait dire un petit bébé, même si je ne les compare pas. Mais oui. C’est ça. Oui. C’est aussi quelque chose qui m’occupe pas mal. J’ai commencé, enfin voilà, je suis revenu un petit peu à mes premiers amours. J’avais commencé ma carrière dans le domaine du biogaz et des énergies renouvelables. Et donc, j’avais travaillé dans l’énergie, la mobilité. Et là, j’y reviens un petit peu après quelques années à fond dans le triathlon quoi.

Ermanno : Tout ça, ça a quelques impacts. Avant qu’on revienne dessus, je suis content de recevoir aussi notre troisième personne autour de la table virtuelle. Je veux parler de… Charly d’OpenTri. Salut Charly.

Charly : Salut Armando. Salut Olivier.

Ermanno : Bon. Charly d’OpenTri. OpenTri, ce n’est pas ton nom de famille. C’est juste d’où tu viens. Je te laisse peut-être te présenter rapidement, Charly.

Charly : Merci pour l’invitation. Moi, c’est Charly. Je suis le créateur de la plateforme OpenTri.fr. Je suis ravi d’être là sur le podcast avec vous. Pour ceux qui ne nous connaissent pas, OpenTri.fr, c’est une plateforme en ligne d’entraînement et de communauté dont la mission est de permettre aux triathlètes qui débutent ou qui veulent progresser de trouver tous les conseils, toute la communauté, tous les programmes d’entraînement nécessaires pour atteindre leurs objectifs sportifs. Moi, c’est un projet que j’ai lancé il y a un peu plus de 7 ans. D’abord comme un blog, puis comme un média sur le triathlon. C’était 4 ans qu’on propose des services de coaching et pendant ces 7 ans, il y a un truc qui m’a toujours animé. C’est comment est-ce qu’on fait pour rendre le triathlon accessible à toutes et à tous, même aux gens qui sont juste en mesure aujourd’hui de terminer un premier triathlon XS ou un premier triathlon S. Jusqu’à des gens qui en font depuis 3, 4, 5 ans et qui veulent progresser, battre leurs propres records. Et si je suis aussi heureux d’être là avec vous, c’est vraiment parce que devenir triathlète, je pense que le nom du podcast, ça fait vraiment une partie de la mission qu’on a avec OpenTri. C’est vraiment ça. C’est vraiment que tout le monde puisse se dire OK, je vais devenir triathlète. Je suis aussi là en tant qu’auditeur fidèle du podcast parce que je pense que sur les 400 épisodes, j’ai pas dû en rater beaucoup.

Ermanno : C’est cool. Parce qu’on aime bien parler avec nos auditeurs. Et puis, c’est cool de savoir que tu fais partie de ces fidèles. Si tu les as presque tous écoutés, ça veut dire qu’ils te plaisent, que le format te plaît.

Charly : Ouais, j’aime beaucoup. J’aime beaucoup le format. Et puis, au-delà de ça, j’aime surtout la promesse. J’aime surtout la promesse de devenir triathlète, d’aller un peu désacraliser ce sport-là, d’aller discuter avec des gens qui font ce sport-là, des sportifs, des acteurs, des marques, des aventuriers. Pas mal aussi d’amateurs, de gens qui font ça pour le plaisir. Et ça, c’est un plaisir. C’est une vraie joie à chaque fois de découvrir ces aventures-là, ce qui se cache derrière des gens qu’on voit, soit derrière nos télés, soit sur des profils Instagram. C’est toujours des histoires très chouettes à écouter.

Ermanno : Et encore, le podcast, ça reste que de l’audio. Les gens découvrent nos invités, mais ils ne les découvrent pas forcément de visu. On n’est pas encore présents sur les réseaux et sur YouTube avec des morceaux d’épisodes enregistrés. Mais ça va peut-être changer. On va voir. On en reparlera. Olivier, le podcast à la base, on l’avait fondé tous les deux, notamment pour parler de ta marque de textile de triathlon qui s’appelle Ohana. Où est-ce que tu en es avec la marque ?

Olivier De Schutter : La marque, elle est née comme un side project, un side business dans le bon jargon. C’était quelque chose que je faisais à côté pendant mon temps libre et qui m’a pris… Avec le Covid, je n’y ai passé qu’un petit peu plus de temps. Et puis, la réalité aussi m’a rattrapé.

Olivier De Schutter : J’ai eu d’autres trucs aussi. J’ai géré des magasins de vélo à Bruxelles, une chaîne de magasins de vélo. Je me suis associé avec certaines personnes avec qui finalement, ce n’était pas forcément le bon fit. Donc, j’ai refait. Je suis sauté dans une autre aventure entrepreneuriale encore qui est celle de Blin dont on parlait à l’instant. Donc, la marque Ohana, ça fait quatre ans qu’elle existe maintenant. On a une belle petite communauté. La petite fierté, c’est que sur à peu près tous les formats Ironman, en tout cas, toutes les grandes courses de triathlon en Europe, il y a en général au moins un athlète ou une athlète. Qui a la trifonction Ohana. Donc, ça, c’était la petite fierté évidemment. Et puis, on a eu plusieurs collections aussi. Là, aujourd’hui, je commence à saturer un petit peu. C’est-à-dire que la marque existe toujours. Il y a encore des commandes de manière régulière. Mais disons que je ne suis plus proactif dessus. Et donc, ça fait un petit moment qu’il n’y a plus de… Il n’y a plus de nouvelles collections, par exemple. Donc, il y a un stock. Il y a une marque qui existe. Il y a un boulot monstre qui a été fait. Mais voilà, là, ça reste un petit peu en stand-by, même si on peut toujours commander, bien sûr. Mais voilà. Donc, j’aimerais bien. C’est parce que j’ai 24 heures dans une journée et que j’ai une autre boîte à gérer aussi sur le côté. Et donc, voilà. Donc, il fallait faire des choix. Mais voilà. Après, si je trouve quelqu’un qui veut reprendre et qui veut se lancer dans l’aventure e-commerce, textile, triathlon, qui me contacte, avec grand plaisir. La porte est ouverte. Donc, la marque va continuer d’exister. Et on verra à quel point est-ce qu’elle se développe, vite ou non. Voilà. Pour l’instant, ça reste une petite marque locale qui est appréciée. J’ai eu des très bons retours au niveau des produits. Donc, voilà. Pour moi, c’était le principal. Et puis, j’ai avant tout créé la marque parce que je ne trouvais pas mon compte moi-même. Je ne trouvais pas de tri-fonctions à mon goût. Donc, c’est comme ça que ça a démarré. J’étais déjà très content de pouvoir m’équiper moi-même. Et puis, d’avoir pu en faire profiter quelques personnes aussi autour de moi. Donc, voilà. On a quelques milliers de clients déjà.

Ermanno : Donc, Pourvu qu’elles perdurent. Mais c’est un peu la même chose avec le podcast, finalement. Parce qu’il y a beaucoup de choses à faire. Parce qu’on l’a créé pour parler de ta marque, mais aussi parce qu’on n’arrivait pas à trouver dans le paysage du podcast sportif francophone, de podcasts qui répondaient à nos attentes, notamment sur le triathlon. Et Charly, tu parlais de la mission d’OpenTri qui est d’encourager les gens, de faire découvrir le triathlon. Avec le podcast Devenir Triathlète, c’était pareil, c’était d’aider les gens à découvrir, à devenir triathlète et puis à progresser, voire à performer. Donc, on est assez aligné en fait là-dessus entre le podcast et OpenTri.

Charly : Oui, je pense. C’est ce qu’on fait. C’est ce qu’on s’est dit quand on a échangé ensemble ces derniers ans, c’est que finalement on partage la même mission, rendre accessible, démocratiser et puis faire en sorte qu’il n’y ait plus jamais personne qui se dise que le triathlon, ce n’est pas pour lui ou ce n’est pas pour elle parce que c’est un peu trop compliqué et qu’on se détache de cette image du surhomme ou de la surfemme sur Ironman qui termine à quatre pattes en passant la ligne d’arrivée. Et puis qu’on arrive aussi sur des lignes d’arrivée où on a le sourire, qu’on puisse ouvrir ce sport-là à tous. À la plus grande partie possible des sportifs. Et effectivement, on se retrouve là-dessus parce que finalement, nous, OpenTri, on a démarré en tant que média. On est plutôt présent sur la partie blog et c’est principalement par ici que les gens nous connaissent, par la partie articles, par la partie communauté. Mais nous, on n’avait pas ce format podcast qui nous manquait. Vous, vous étiez plutôt très fort là-dessus. Le podcast est bien installé. Il a une audience. Il y a une audience qui est fidèle et puis qui écoute un grand nombre d’épisodes. En fait, l’idée, c’était de se dire que finalement, nous avions une mission commune, mais nous avions des audiences un peu différentes, un peu épars sur des formats différents et qu’il faisait sens aussi de se rapprocher sur ce format podcast.

Ermanno : Quelle belle transition. Bravo Charly. Voilà, c’était un peu l’objectif de l’épisode du jour. Déjà, réentendre Olivier. D’ailleurs, Olivier, est-ce qu’on aura le plaisir de vous parler de l’épisode du jour ? D’ailleurs, de continuer à t’entendre sur le podcast où tu te concentres sur Blin et sur ta petite puce qui est née il y a quelques mois ?

Olivier De Schutter : Oui. Effectivement, moi, je fais un petit pas de côté pour l’instant. Ça ne veut pas dire que je ne reviendrai pas dire un mot de temps en temps, pourquoi pas, avec grand plaisir, si vous voulez encore de moi, mais oui, effectivement, vous ne m’entendrez plus toutes les semaines parce qu’un podcast, c’est un boulot monstre. On a fait… On a fait plusieurs centaines d’épisodes jusqu’à présent et là, maintenant, je pense qu’il y a encore énormément à faire. Ça, c’est certain. Il y aura toujours, de toute façon, plein de gens interviewés, plein d’histoires à découvrir.

Olivier De Schutter : Mais voilà, il faut savoir qu’un podcast, en fait, entre la planification, les enregistrements, le montage, la communication, enfin tout ce qu’il y a autour finalement d’un média, c’est du temps et c’est au moins une petite journée sur la semaine. Donc voilà, quand on n’a pas d’enfant, qu’on est jeune, que tout va bien, je parle déjà comme un vieux con, quand on a moins de responsabilités, je dirais qu’on a du temps consacré, ça va. C’était le cas ces dernières années, mais là, c’est de moins en moins le cas. Je suis aussi co-gérant d’une entreprise avec aujourd’hui 15 personnes. J’ai… J’ai… J’ai une petite famille dont je dois m’occuper, une maison où on fait des travaux. Donc voilà, c’est plein de… C’est plein de choses qui… Qui m’occupent aussi. Donc… Donc effectivement, je serai… Je serai… Je serai plus souvent là. Mais… Mais pourquoi pas revenir faire des petits come-back de temps en temps avec plaisir.

Ermanno : Moi, je ne dis pas non, avec grand plaisir pour t’avoir sur le podcast. J’ai adoré ces presque quatre années à co-animer ensemble. Franchement, on en est à plus de 390 épisodes au moment où on enregistre et franchement, c’était que du bonheur. Je pense qu’on était assez complétés. C’était complémentaire. Et c’est un peu justement cette complémentarité qu’on va continuer, mais plutôt avec OpenTri cette fois-ci. On s’est dit, comme tu disais, Charly, qu’on avait une mission commune, qu’on avait une cible d’audience qui était peut-être commune, mais aussi peut-être un peu plus éparses parce qu’on était deux médias différents. Et en plus, OpenTri, d’être un média, vous proposez aussi cette plateforme d’entraînement et qu’il y avait certainement quelque chose à faire ensemble, à mettre en commun toutes nos ressources pour que ce soit du win-win, mais pas du win-win devenir tri. Et OpenTri, du win-win pour le média devenir tri et OpenTri et pour nos auditrices et nos auditeurs, n’est-ce pas ?

Charly : Oui, effectivement, je pense qu’on a pas mal de choses à apporter aussi sur le podcast et à nos auditeurs. C’est que finalement, à nous cumuler sur nos deux projets, ça doit faire dix ans qu’on œuvre pour ces gens-là qui sont des triathlètes amateurs ou des triathlètes beaucoup plus investis. Et finalement, le podcast… Oui, c’est ça. Du côté de devenir triathlète ou les articles de blog, la communauté, les plans d’entraînement côté OpenTri, finalement, ils se retrouvent autour de cette même mission. Et on va pouvoir, je l’espère, aller dans ce sens de cette synergie où on va créer un écosystème où le triathlète qui est auditeur de devenir triathlète pourra aller chercher aussi d’autres conseils, d’autres services qui soient complémentaires à l’écoute du podcast.

Ermanno : Bon alors du coup, qu’est-ce qui change ? Je disais en intro. Je disais en intro. Je me suis un peu emmêlé les pinceaux en disant que des choses allaient changer, mais en même temps, rien n’allait changer. Qu’est-ce qui change côté OpenTri et côté devenir triathlète ?

Charly : Alors côté OpenTri, nous, on est très heureux de venir en collaboration avec devenir triathlète. Franchement, je pense que les auditeurs font ce constat-là aussi. Il n’y a pas beaucoup de podcasts sur le triathlon aujourd’hui en France et clairement, nous, c’est un vrai plaisir de venir partager cette mission-là avec… L’un des plus gros podcasts de triathlon en France. Je crois toujours le numéro 1 sur le classement Apple, si je ne dis pas de bêtises, à date d’aujourd’hui.

Olivier De Schutter : Il faudra vérifier parce que c’est vrai que récemment, j’ai vu deux, trois nouveaux podcasts qui ont débarqué. Donc, il faudra vérifier. Mais c’est vrai qu’à l’époque, en tout cas, on était les premiers. Je ne sais pas, au niveau des écoutes aujourd’hui, il faudra vérifier.

Charly : En tout cas, un des plus visibles, c’est certain. Et du coup, nous, on est heureux de pouvoir aussi relayer ce que fait devenir triathlète auprès de notre communauté existante. Et puis, de venir aider, épauler à la communication, à la mise en avant de ce podcast, de ce format podcast qui est un format hyper riche, très long, dans lequel on entre en détail et sur lequel il y a des vraies histoires dans lesquelles se laisser embarquer. Donc, nous, on est très contents de notre côté, de venir épouser ce nouveau format-là avec tout le savoir-faire que vous avez mis en œuvre, Hermano, Olivier, toute la communauté que vous avez constituée aussi et de pouvoir venir, comme je le disais, pour l’auditeur et l’auditrice. Venir proposer encore plus de contenu, encore plus de services que ce qu’on pouvait faire jusqu’ici, chacun de notre côté. Oui.

Ermanno : Et puis, Olivier le rappelait tout à l’heure, produire un podcast, ce n’est pas juste parler dans un micro. Au-delà des compétences qu’il faut avoir pour parler dans le micro et pour interviewer des triathlètes amateurs ou même beaucoup plus éclairés, beaucoup plus investis, beaucoup plus professionnels, comme tu disais, il y a aussi un gros travail avant pour sourcer des invités, pour aller chercher des invités, pour échanger avec les invités, pour booker les rendez-vous. Pour créer un peu la trame de l’épisode et puis après, pour enregistrer cet épisode et puis après, il faut le monter et puis après, il faut communiquer là-dessus. Et c’est vrai que vous serez un peu dans l’ombre, c’est-à-dire que vous allez nous épauler sur toute la partie communication, sur la partie sourcing aussi des invités et puis pas tant que ça parce que vous allez aussi parfois prendre le rôle de co-animateur avec moi. J’espère avec toi, j’espère avec Hugo, j’espère avec d’autres. En tout cas, vous allez pouvoir contribuer aussi activement et être dans la lumière du podcast « Devenir triathlète ».

Charly : Oui. Avec grand plaisir pour ça. Franchement, c’est un format, encore une fois, qui nous plaît bien, sur lequel il y a vraiment des choses à aller faire raconter à nos invités. Donc, ce sera avec plaisir pour venir t’épauler, Armando, dans les interviews et espérons-le les rendre encore plus intéressantes avec deux aides de l’éthère.

Ermanno : Écoute, ce sera avec plaisir. Sur la partie communication, on l’a dit, vous allez nous aider, vous allez surtout m’aider moi parce que moi, c’est mon gros problème. Je ne sais pas faire Olivier César d’une main de maître. Et donc, pour nos auditrices et nos auditeurs, vous allez peut-être nous voir un petit peu plus prisants déjà sur les réseaux qu’on a actuellement, LinkedIn, Facebook, Instagram. Facebook, c’est le groupe privé d’ailleurs parce que oui, on aime bien créer une petite communauté où on est entre nous. On modère, on fait attention à qui rentre, qui vient dire quoi, de manière à ce que ce soit quelque chose de très sympathique, sincère, comme quand on est sur une course de triathlon. Il y a parfois des arbitres, mais finalement, l’objectif, ce n’est pas d’être embêtant, c’est que tout se passe bien pour tout le monde. Donc, voilà. Vous nous verrez toujours avec ces postes habituels hebdomadaires pour présenter l’épisode et puis peut-être plein d’autres choses qui vont arriver, un petit peu plus de postes un peu plus complets, voire des postes qui vont relayer des articles que vous, vous reprendrez sur le blog OpenTri qui reprendront certains de nos épisodes. Et puis, on va peut-être essayer aussi de faire des choses en vidéo, des petits shorts ou des choses comme ça pour attiser encore plus et puis donner envie à nos auditrices et à nos auditeurs de partager nos petits contenus pour aller chercher d’autres auditrices et auditeurs, non ?

Charly : Oui, je pense qu’on a un plan d’accueil. Il y a des actions pour les prochaines semaines, pour les prochains mois qui devraient permettre d’avoir pas mal de nouveautés. On n’en dit pas trop, on ne va pas s’engager trop tôt, mais non, il y a des choses qui devraient arriver et qui devraient permettre de nous retrouver sur d’autres plateformes que le podcast uniquement.

Ermanno : Et puis, la dernière chose qui change, mais sans changer, change un tout petit peu le nom, on garde Devenir Triathlète et puis on met un petit X au milieu pour marquer la collaboration et on rajoute OpenTri. Donc, Devenir Triathlète X OpenTri, ce n’est pas un rachat. De l’un ou de l’autre, ça reste bien une collaboration et moi, ça me va bien. Et puis, OpenTri, ça vous va bien aussi ?

Charly : Oui, l’idée, ce n’est clairement pas de venir bousculer quoi que ce soit qui existe aujourd’hui. Ce que vous avez monté tous les deux, Olivier et Armando, comme vous le disiez, c’est beaucoup de travail, mais c’est aussi une belle réussite. Nous, l’idée, c’est de venir apporter des compétences qu’on a, du temps qu’on a, de la coanimation, de la communication pour aider le podcast à aller de l’avant parce qu’encore une fois, c’est important. C’est un format que nous n’avons pas en natif côté OpenTri et qui pourtant remplit la même mission que celle qu’on essaye de remplir au quotidien. Donc, on vient avec vous, vous apporter du soutien et faire grandir ce podcast là pour qu’il aille toucher toujours un nombre plus important de triathlètes.

Ermanno : Oui, et puis Olivier, on sera heureux, comme on le disait, de te recevoir à nouveau sur le podcast. Toi, de ton côté, tu continues quand même le triathlon ? Tu t’es quand même fixé des objectifs ou pour l’instant, tu as laissé ça un petit peu en suspens cette année ?

Olivier De Schutter : Oui, je reprends ce que je disais tout à l’heure, donc je suis devenu papa, j’ai rénové la maison.

Ermanno : Oui, oui, mais ça, c’est de l’entraînement croisé, ça.

Olivier De Schutter : Et j’ai monté une nouvelle boîte. Donc non, malheureusement, j’ai fait le semi Ironman à Knok en Belgique au mois de septembre 2023. Voilà, c’était mon… Alors, à moitié préparé, je dois l’avouer parce que j’étais déjà bien pris, mais j’avoue que depuis, j’ai un petit peu le temps de faire des choses. J’ai levé le pied et du coup, j’essaie de reprendre petit à petit, mais ce n’est pas beau à voir. Ce n’est pas beau à voir, c’est du marche-cours, marche-cours pendant 15 minutes et puis j’entre à la maison, j’ai mal au dos.

Olivier De Schutter : Donc, je ne peux pas faire ce que j’ai fait dans le passé. Mon kiné, qui est un très bon ami, me dit non, mais ne t’inquiète pas, ça revient très vite. Donc, voilà. Maintenant, c’est vrai que c’est parfois un peu difficile moralement quand tu sais ce que tu as été capable de faire dans le passé, à mon humble niveau, mais quand même. Et là où j’en suis là maintenant. Donc, voilà. J’espère que 2024, de toute façon, ce ne sera pas ma grande saison, ça c’est certain. Mais j’espère un petit comeback quand même l’année prochaine, en 2025.

Ermanno : Je te rassure, le podcast, ça s’oublie encore moins que le corps n’oublie les gestes pour le triathlon. Donc, tu seras toujours le bienvenu. Et puis, tu n’auras pas oublié.

Olivier De Schutter : Il faudrait que j’ai des trucs à raconter parce que là, pour l’instant, au niveau triathlon, ce n’est pas foufou.

Ermanno : Bon, ben messieurs, on aura fait un épisode un peu plus court que d’habitude, même beaucoup plus court. Mais l’idée, c’était de faire cette petite annonce. Ce qu’on peut peut-être faire, c’est inviter nos auditrices, nos auditeurs, nos lectrices, nos lecteurs pour le blog d’OpenTri à nous dire ce que vous en pensez. Et puis, peut-être nous aider aussi à construire la suite du planning éditorial. Est-ce que vous voulez plus d’amateurs ? Est-ce que vous voulez plus de triathlètes élites ? Est-ce que vous voulez plus de sujets de fond ? Est-ce que vous voulez plus d’études ? Est-ce qu’on rentre plus dans la science de l’entraînement et en particulier du triathlon ? Enfin, voilà. N’hésitez pas à revenir vers nous, que ce soit sur les réseaux sociaux ou via OpenTri.

Olivier De Schutter : La première personne à qui on peut peut-être poser la question aussi, c’est Charly, vu que tu étais toi-même auditeur. Est-ce qu’il y a des épisodes qui t’ont plus marqué que d’autres ? Il y a des sujets

Charly : qui t’ont plus attiré que d’autres J’ai beaucoup aimé le mix entre des sujets parfois assez pointus sur la science de l’entraînement et sur la science de l’entraînement. Et des histoires beaucoup plus presque lyriques sur des aventures, sur de l’ultra-endurance, sur des choses qui sont beaucoup plus dans les plongées très personnelles, sur des parcours de vie un peu particuliers. Non, moi, ce que j’aime dans le podcast, c’est ça. C’est qu’on va être capable à la fois de parler de science d’entraînement, de points hyper précis, et l’épisode d’après, de se laisser embarquer dans une aventure très personnelle. Donc on va continuer. Clairement. Clairement, à écouter ce que les auditeurs nous suggèrent comme idée, mais on va continuer en tout cas à faire avancer le podcast avec Armando. Et l’idée, c’est vraiment celui-ci. C’est vraiment de vous écouter pour vous fournir le contenu que vous voulez entendre et puis de continuer à aller chercher de nouveaux et de nouvelles triathlètes.

Olivier De Schutter : Et toi, Charly, t’as des sujets de prédilection, des trucs ou quoi ? Je sais pas, l’alimentation, la technique, la mécanique ?

Charly : Le positionnement, le vrai sujet sur lequel OpenTri a grandi et moi qui me tiens à cœur, c’est vraiment tout ce qui touche aux gens qui débutent et veulent progresser. C’est pour ça tout à l’heure que je vous disais que le nom « Devenir triathlète », il me parle beaucoup, il me plaît beaucoup, c’est que c’est vraiment la mission que nous on a depuis sept ans avec OpenTri, c’est ça. On veut que les gens se disent « Mais moi aussi, je peux devenir triathlète ». Donc il y a un vrai truc à défendre là-dessus parce que c’est trop peu traité. Parce que c’est encore très inaccessible pour certains. C’est-à-dire qu’en fait, il y a une place pour apporter des conseils, mais des conseils basiques que nous, après quelques années de triathlon, avons presque intégrés naturellement et pensons que c’est intégré chez tout le monde, mais des choses qui sont des conseils pour une première course, des conseils pour commencer à s’équiper, ce genre de choses. S’il y a bien un truc qui est dans notre ADN et moi qui me tient à cœur, c’est celui-ci. C’est vraiment d’aller… démocratiser, donner les premiers conseils, donner les premières trames d’entraînement pour accompagner les gens qui débutent ou qui ont une, deux, trois, quatre ans d’expérience et qui veulent progresser à leur niveau.

Ermanno : Hasard de l’enregistrement ou pas, la semaine où on est en train de se parler, on a diffusé l’épisode avec Stéphanie Trébuc, qui est une femme qui a découvert le triathlon à presque 30 ans. Elle savait bien courir, elle nageait un peu, mais elle n’était pas une grande nageuse et par contre, elle ne savait pas du tout faire de vélo. Et voilà, je pense qu’on est dans le thème de ceux qui découvrent le triathlon et puis qui sont piqués par le virus et après qui vont chercher de la performance.

Charly : Exactement. Parce qu’en plus, comme tu le dis, Armando, c’est un parcours qui est très classique. On s’y intéresse, on tombe dessus par hasard ou par curiosité et puis on démarre sur un premier et puis comme on le sait, tout se tourne de ses micros. Une fois qu’on y a touché un peu, c’est difficile de s’en défaire et puis on grimpe les échelons, les distances, on s’y met de plus en plus. Et en fait… En fait, c’est ça, nous, avec le podcast comme avec le média, l’idée, c’est plutôt d’aller accompagner ces gens-là en leur fournissant les bons conseils au bon moment de leur avancée, de leur aventure dans le monde du triathlon.

Olivier De Schutter : D’où le nom aussi OpenTri, souvent c’est les distances open ou quoi, c’est la catégorie justement débutante, entre guillemets, ouverte à tout le monde.

Charly : Exactement, il y a cette notion d’ouvrir, de rendre accessible, tout à fait.

Olivier De Schutter : Qui est le… Qui est le… Qui a été appris d’ailleurs par la course IronLegs, qui désormais s’appelle OpenLegs. On avait reçu Florian Badou au micro justement du podcast il y a un petit moment déjà, qui justement, ils ont retravaillé un peu leur positionnement. Bon, d’une part parce que c’était quand même proche d’Ironman et que voilà, mais parce que OpenLegs, justement, il y avait cette notion d’ouverture et ils veulent en faire justement quelque chose de beaucoup plus familier. Et donc, on retrouve effectivement un petit peu ce côté-là. Même s’il y a pas mal d’athlètes aussi, il y a pas mal d’athlètes pros aussi qui écoutent le podcast parce que parfois, alors bon, peut-être qu’ils apprennent certaines choses, je ne sais pas. Mais en tout cas, le fait de découvrir aussi quelqu’un, ça peut être intéressant de découvrir d’autres athlètes, des coachs, des manières de penser, des parcours, des cours de vie, tout ça. Ça peut être des choses aussi parfois plus inspirantes ou peut-être plus dans de l’émotion ou quoi. Donc voilà, dans tous les cas, je sais que c’est un format qui a plu à pas mal de personnes, qui a peut-être déplu à d’autres, je ne sais pas, ça, on n’a jamais le retour, évidemment. Mais en tout cas, à en croire nos petites étoiles sur Spotify, a priori, ça se passe bien.

Ermanno : Ouais, je pense que les gens apprécient. Messieurs, merci pour cet épisode, je le redis, qui a été un peu plus court que d’habitude, mais l’idée, c’était de faire cette annonce. Olivier, où est-ce qu’on continue ? On continue à te suivre, à t’encourager et puis où est-ce qu’on t’envoie plein d’émojis en forme de biceps bien serrés pour 2025, pour ta reprise ?

Olivier De Schutter : suis toujours sur Instagram, même si je ne suis plus très actif parce que voilà, je suis un peu plus actif sur LinkedIn et puis je pense qu’en termes de création de contenu, j’ai quand même aussi la société Blink. J’ai aussi un petit compte sur LinkedIn, qu’on a co-créé avec mon associé Sam. Et donc, on crée aussi pas mal de contenu autour de la transition écologique. Donc, comme je disais, c’est aussi un sujet qui me tient beaucoup à cœur. C’était un peu mon premier amour et donc voilà, j’y reviens. Donc, voilà, il y a des choses qui se feront aussi. Il y a un de mes collègues aussi qui a relancé le podcast VéloTaf qu’on avait lancé à l’époque sur l’association Two Wheel Tuesday. Et Germano connaît bien, puisqu’il a animé la première saison. Donc, il est encore, il fait partie encore de l’équipe de production. Donc, voilà, je reste quand même proche. Je garde un pied dedans et puis on verra. Et j’aimerais beaucoup pouvoir me remettre aussi au podcast à l’avenir, mais je ne sais pas quand. Donc, voilà, je ne m’engage à rien, mais je reste là, je reste sur les réseaux. Donc, n’hésitez pas, n’hésitez pas à venir me faire un petit coucou. Voilà. Je serai, je serai là toujours, toujours ouvert à discuter.

Ermanno : Et toi, Charly, où est ce qu’on te retrouve?

Charly : Moi, vous pouvez me retrouver sur OpenTri.fr, O-P-E-N-T-R-I.fr. Je pense qu’on aura l’occasion, peut être au fil des prochains épisodes, d’en discuter un petit peu avec Germano. Mais voilà, si vous voulez nous retrouver, OpenTri.fr. Et puis, on prépare des choses aussi pour les éditeurs du podcast dans les prochaines semaines. Et si vous voulez me retrouver sur LinkedIn. C’est possible aussi. Je m’appelle Charly Régéturo et je serai ravi de discuter de triathlon avec vous si vous êtes sur ces réseaux là aussi.

Ermanno : Merci beaucoup. Bonne continuation. Bons entraînements pour ceux qui s’entraînent. Même marche course, ça fonctionne, Olivier. Et puis, chères auditrices, chers auditeurs, rendez vous la semaine prochaine pour le premier épisode de Devenir Triathlète X OpenTri.

Olivier De Schutter : Merci à vous. A très bientôt. Salut.

Ermanno : Merci d’avoir écouté cet épisode jusqu’au bout. N’oubliez pas de rejoindre notre groupe Facebook pour discuter avec les invités, commenter et poser vos questions. Et Olivier et moi, nous vous répondrons dans un prochain épisode. À la semaine prochaine. Salut les sportifs.

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